Les groupes de travail de BePax, composés de bénévoles, d’experts et de partenaires, sont des piliers de l’association. Ils s’investissent dans l’étude et le développement de thématiques liées à la lutte contre le racisme, organisent des rencontres-débats, mènent des actions de sensibilisation et de plaidoyer, et contribuent à l’expertise et au rayonnement de BePax. Leur engagement est crucial pour le dynamisme et l’impact de l’association dans la construction d’une société plus juste et inclusive.
Ce groupe se consacre aux tensions en Belgique au sein des diasporas rwandaises et des Grands Lacs. Le GT, inspiré par ses travaux antérieurs notamment sur la réconciliation, a choisi de mettre en œuvre le processus de Bonne Puissance pour aborder les traumatismes persistants et les tensions entre communautés. Initiée par Laurien Ntezimana, volontaire du GT, et soutenue par l’Association Modeste et Innocent (AMI), cette approche décoloniale vise à stopper la récurrence de la violence.
Le groupe de travail « Le Café littéraire » propose un espace de débat et de discussion autour des thèmes du racisme, de la migration et de l’interculturalité, en prenant la littérature comme point de départ. Les membres lisent des ouvrages portant sur ces sujets spécifiques et se réunissent une fois par mois pour échanger leurs points de vue.
Ce groupe de travail a pour objectif principal d’explorer l’intersectionnalité comme un outil crucial d’analyse des réalités contemporaines. À travers des activités telles que des lectures en groupe, des visionnages de films, des écoutes de podcasts, des rencontres avec des invités et le partage d’expériences personnelles, les volontaires ont approfondi cette thématique, ce qui leur a permis d’élargir leur compréhension des différentes formes de domination et de leurs intersections. Aujourd’hui, après cette phase d’exploration et d’analyse, le groupe a décidé de se lancer dans la création et la production d’un podcast qui a pour objectif de rendre visibles les récits à la marge et de sensibiliser sur l’importance d’une lecture intersectionnelle des réalités sociales.
Le groupe de travail « Être allié.e » se concentre sur la notion d’alliance, en l’explorant, la questionnant et la mettant en pratique. Destiné aux personnes déjà sensibilisées aux questions de justice sociale (féminisme intersectionnel, antiracisme, anticapitalisme, etc.), ce groupe encourage ses volontaires à réfléchir à leur position dans la société et à développer de meilleures pratiques d’alliance et de convergence des luttes.
Les Cafés Politiques visent également à approfondir les réflexions et analyses de chacun.e et à porter une voix collective en faveur de l’inclusion sociale.
Le Comité de rédaction coordonne la préparation du « Signes des temps », la revue bimestrielle de BePax. Elle a pour but d’aborder, à chaque numéro, un aspect spécifique de nos thématiques de travail. Les articles sont rédigés par le comité de rédaction et par des membres de la société civile travaillant sur ces matières. La revue est diffusée gratuitement à près de 2500 exemplaires et est consultable en ligne.